Une Italie qui chante,
de Jean Métégnier

Une histoire simple qui se parle et qui se chante, comme un tourne-disque pendant une réunion de famille, une ronde d'enfants dans la cour ensoleillée d'une petite école de Naples. Les bribes d'un passé qui remonte à la mémoire, une évocation tout à la fois drôle et nostalgique, tendre et tonique.
Le répertoire : Des comptines traditionnelles aux textes poétiques de Fabricio Di Andre (le Brassens italien), en passant par Sergio Franchi (dont toutes les Italiennes étaient amoureuses), Jean Métégnier mélange avec espièglerie l'italien et le français, traduisant certaines chansons, certaines paroles ou au contraire laissant l'imagination et l'émotion faire leur travail !
Le violoncelle et le minuscule violoncellino passent des graves à la farce, des classiques au mélo ! La guitare comme la mandoline savent se faire délicieusement tendres (des fois ça dégouline juste comme on aime !) mais toniques aussi : ça swingue tout à fait « al dente », c'est piquant comme un piment ou mordant comme le « chant des partisans ».
Tout ça dure une heure, (temps minimum pour cuire une bonne sauce tomate au basilic) et est destiné aux enfants de 7 à 77 ans…
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